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Confidences sur la liberté et l'amour

L'Amor en face B

Écriture et jeu : Virginie Coze

Mise en scène : Greg Truchet

Marionnette et création vidéo : Laurent Foudrot

Lumières : Virginie Coze et Nicolas Galliot

Musiques : Cyril Giroux, Kyle Preston et Virginie Coze

L'Amor en face B est un spectacle lumineux et touchant, souvent drôle, qui entremêle rires et larmes sur un sujet actuel et sensible : l’accompagnement de fin de vie et plus précisément l’aide active à mourir.

Peu à peu, l’idée initiale de ce projet s’est transformée en une envie, presque un besoin, de parler de nos choix de vie et de la liberté qui nous est laissée de les concrétiser, de faire différemment que ce qui nous est parfois imposé, ou ressenti comme tel.

Le spectacle aborde le manque d’accompagnement des personnes qui,
en France, choisissent leur fin de vie.
Il traite également du tiraillement que vivent les proches :
être là pour la personne aimée ou se protéger ? Car la loi ne permet pas qu’on aide, qu’on assiste, un futur mort. Elle juge alors ce geste comme non-assistance à personne en danger. Mais en danger de quoi ?
Le cancer ne mettait-il pas déjà cette personne en danger
de mort imminente et de souffrance ?

Cela soulève aussi la question de la liberté et de l’amour qui, si nous voulons les préserver et les respecter, nous pousse parfois non pas à la désobéissance mais à l’obéissance à nos propres valeurs.

L’Amor en face B mène la comédienne à se questionner également sur sa propre mort. Le choix de notre mort ne pourrait-il pas être un choix de vie ?

L’interprétation généreuse et engagée de la comédienne amène du beau, du drôle, du sensible. Elle permet de parler de la tristesse, du cœur qui s’effondre pour mieux se regonfler d’amour. Et nous convie à voir les choses au plus près de ce qu’elles sont pour ne plus les craindre et les vivre pleinement.

Un des buts : dédramatiser la tragédie personnelle afin de la rendre plus acceptable et universelle grâce aux films d’animation
et au personnage de Théthé en pâte à modeler.
Questionner, sans jugement ni prosélytisme, l’aide active à mourir et plus largement nos libertés individuelles.

Et surtout parler de l’amour qui soutient et accompagne.

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